Un nouvel arrivant sud-asiatique commença à travailler comme conseiller à la vente chez un concessionnaire d’automobiles. Après quelques jours de travail, ses supérieurs commencèrent à le traiter de plusieurs noms, notamment de « Paki » et de « terroriste ». Ils firent jouer des vidéos sur YouTube qui dénigraient la culture punjabi.
Notre client envoya une lettre de plainte au propriétaire. Le client se vit offrir de l’argent pour quitter l’emploi, ce qu’il refusa. Puis, on lui envoya une lettre de mise à pied.
Avant le dépôt de la requête au Tribunal, le Centre négocia une indemnité pour notre client, de même qu’une entente stipulant que le concessionnaire d’automobiles devrait fournir aux gestionnaires une formation en droits de la personne.