Une femme travaillait comme barmaid depuis environ un an (elle avait antérieurement travaillé dans d’autres établissements de la même chaîne et avait reçu des éloges sur son rendement). Un gestionnaire lui avait fait subir du harcèlement sexuel, notamment des commentaires sur son apparence physique, et il avait essayé de l’embrasser. Elle avait rejeté ses avances et signalé l’incident au directeur général, mais s’était aperçue ensuite qu’on la surchargeait et que son travail faisait l’objet d’une surveillance excessive de la part du harceleur. Elle s’était plainte de nouveau. Peu après, elle avait été congédiée pour « insubordination » et absence de ses quarts de travail.

L’entreprise a accepté de faire dispenser à son personnel une formation sur les droits de la personne par un consultant de l’extérieur dans les six mois suivants.