Un superviseur d’une grosse usine de fabrication s’était rendu coupable de harcèlement sexuel envers la requérante, qui s’inquiétait également du sort de ses autres collègues femmes, dont un bon nombre étaient des immigrantes récentes et ne parlaient pas anglais.

Les deux intimés à titre collectif ont accepté de mettre en œuvre une politique des droits de la personne assortie d’un mécanisme de traitement des plaintes, et de dispenser une formation sur la politique à tous leurs cadres et superviseurs. De plus, des séances d’information au sujet de la nouvelle politique devaient être dispensées aux employés dans leur propre langue.