Une femme a demandé à son employeur, un grand organisme sans but lucratif, de lui permettre de travailler à temps partiel afin de répondre à ses besoins relatifs à la garde de son enfant. Elle a indiqué qu’elle ferait la même charge de travail (ce qui signifie qu’elle n’aurait pas à être réduite) et qu’elle savait qu’elle ne serait plus admissible aux avantages sociaux. Son superviseur lui a dit qu’il en discuterait avec le chef des opérations et qu’il lui reviendrait avec une réponse. Il a par la suite rejeté sa demande. On lui a fait une autre proposition et on lui a dit qu’on avait trouvé une solution tenant compte de sa situation personnelle. Son superviseur l’a appelée chez elle et lui a offert un poste contractuel, pour lequel la rémunération était inférieure à la moitié de son salaire actuel. Elle a appelé le Centre, et nous l’avons aidé à rédiger une demande de mesures d’adaptation en vertu du Code en matière de droits de la personne. Après avoir reçu la demande écrite (et de s’être rendu compte que l’employé avait demandé un avis juridique), l’employeur a convenu de lui donner un horaire à temps partiel et a signé l’entente.