Une femme était contractuelle depuis près de cinq ans lorsqu’elle se fait offrir un poste permanent de cadre. Cette année-là, son mari subit une blessure traumatique qui le laisse paralysé de façon permanente. Elle connait des périodes de dépression, d’anxiété et de chagrin, et sa performance au travail s’en est ressentie.
Son directeur commença à surexaminer son travail et lui refusât ses demandes de vacances. Son employeur lui demanda éventuellement si elle souffrait d’une invalidité, ce à quoi elle répondit « non » et mentionna qu’elle préférait ne pas en parler. Elle était licenciée peu de temps après pour cause de problèmes de rendement.
Ce licenciement eut un impact profond sur notre cliente. Elle se trouva un autre emploi, mais développa une peur démesurée d’être incapable de soutenir sa famille financièrement.
Le Centre a négocié une entente qui comprenait :
- Une indemnité pour la discrimination;
- Une attestation d’emploi révisée stipulant qu’elle avait quitté son poste pour poursuivre d’autres projets;
- Le retrait du licenciement de son dossier, afin qu’elle puisse postuler aux emplois affichés à l’interne pendant deux ans.