Une affaire relevant des droits de la personne et fondée sur des allégations selon lesquelles l’intimé aurait refusé un logement à une famille parce qu’elle a un enfant a été réglée le 8 mars 2018.

Les propriétaires déplorent le fait que la famille croyait qu’elle allait être exclue parce qu’elle a un enfant. Ils se rendent compte que la présomption que les enfants réduisent automatiquement la qualité de vie des autres locataires est non seulement fausse mais que, de plus, elle revient à traiter les personnes à la recherche d’un logement comme des êtres inférieurs, et que des gestes de cette nature peuvent mener à l’itinérance.

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