Le Centre a représenté une ouvrière d’usine d’expérience, mise à pied dès son retour au travail à la suite d’un congé de maladie. Lors de l’audience, l’employeur a soutenu qu’elle a été renvoyée à cause d’un manque de travail, mais la preuve a montré qu’aucun de ses collègues n’a été mis à pied.
Le Tribunal a jugé que la preuve soutient l’inférence selon laquelle le congé de maladie de la requérante a joué un rôle dans la décision de la choisir comme employée à mettre à pied.
Le Tribunal a ordonné :
- une indemnité de 15 000$ pour la discrimination;
- une indemnité pour la perte d’avantages;
- une formation en droits de la personne que devront suivre les gestionnaires et les superviseurs de l’entreprises, d’ici 60 jours.
Le texte intégral de la décision est disponible sur CanLII (en anglais seulement).